Logiciels libres, GNU/Linux et Debian
SI l’informatique libre a précédé Linux, il faut bien reconnaître que l’apparition de ce dernier a dynamisé le mouvement GNU et donné de la publicité à la GPL (GNU Public License). C’est pourquoi cette page ne tente pas de trop séparer Linux des logiciels libres : la fraction de logiciels «propriétaires» installable y est très faible ?
Logiciels libres | une présentation succincte |
Adopter GNU/Linux | le «pour» et le difficile |
Associations | autour de GNU/Linux et des logiciels libres |
Ordinateurs | sans OS ou avec GNU/Linux |
Documentation |
Debian |
Installation de GNU/Linux | Debian 12 Bookworm (dist-upgrade, CD ou clé USB) |
GNU/Linux Debian | historique et argumentaire |
Smartphones |
et GNU/Linux |
Sailfish OS | sur Jolla C ou Intex |
Smartphones, | tablettes et GNU/Linux |
Mobian | sur PinePhone |
Documentation |
GNU/Linux |
Cette page explique le minimum à connaître sur un système GNU/Linux (ligne de commande, système de fichiers…) | |
Archivage et compression bash programmation bépo disposition de clavier rationnelle Cartes d’identité (lecteur) CD, DVD gravure (minimal) Chiffrement (fichier et disques) Commandes en mode console Comparaison de fichiers Compression et archivage Console ligne de commande Dépannage Debian Dictionnaires Documentation GNU/Linux Debian Droits (lecture, écriture, exécution) Édition (logiciels) et LibreOffice Éducatifs (logiciels) Émulation (logiciels) Fichiers et répertoires Fontes de caractères Graphisme (logiciels) GRUB version 2 Imprimantes Informations sur le système Installer un logiciel (et mise à jour) Internet (sécurité et logiciels) Mise à jour du système |
Jeux (logiciels) Lexique informatique Mate-Desktop (bureau) Mémoire et processus Midi: généralités et émulation Midi format (technique) Multimedia son et vidéo Partitions (descript°, montage, récup.) PDF: lire, produire et convertir certains Pilotes et périphériques Périphériques et pilotes Polices de caractères Processus et mémoire Reconnaissance optique des caractères Récupération des données Répertoires et fichiers Réseaux adsl, ethernet et wifi Rumeurs sur GNU/Linux Scanner et OCR Sciences (logiciels) Sécurité sur Internet Son (multimedia) Tablette graphique USB et périphériques Vidéo (multimedia) Wine (émulation) |
Logiciels |
particuliers |
ffmpeg édition multimédia (console) Gimp (minimal, quelques trucs) LATEX édition professionnelle LibreOffice, suite bureautique |
MyPaint, dessiner avec tablette graphique Rosegarden, séquenceur MIDI MuseScore, éditeur et joueur de partitions Statistiques: R et PSPP |
Pour |
mémoire |
Bureaux GNOME 2, KDE3 et GNOME 3 LMDE (LinuxMint Debian Edition) Toutou Linux |
Debian sur Toshiba Satellite c850 19z Ubuntu 10.10 sur eeePC 1011PX Debian 6 Squeeze sur eeePC 1011PX |
Présentation personnelle
C’est en lisant ST-Magazine que j’ai appris l’existence de GNU/Linux (neuf articles paru d’octobre 1996 à septembre 1997, la plupart des numéros entre 109 et 119). Le portage "m68k" du système pour les machines dotées d’un processeur 68000 (Amiga, Atari, McIntosh, SUN3) avait commencé en novembre 1995.
Atari ayant lâché la micro-informatique après les échecs du Falcon et de la console Jaguar, j’ai tenté d’installer RedHat 5.1 en janvier 1998 sur un PII/200MHz. Réussite sans trop de difficultés, le seul point sensible était le partitionnement du disque dur avec la commande fdisk. Succès également dans l’installation de l’environnement graphique GNOME. Malheureusement, la carte-mère était dotée de l’approximative puce graphique Sis6326, qui laissait des saletés à l’affichage (surtout dans les menus déroulants), que le module générique du noyau Linux ne corrigeait pas. Je ne savais pas qu’il suffisait d’ajouter une carte graphique bon marché pour résoudre le problème.
C’est en automne 2001 que Suse 7.3 m’a permis une première installation convaincante (mais plus difficile concernant l’interface graphique), avec laquelle j’ai surtout utilisé la suite bureautique StarOffice de SUN, à l’origine d’OpenOffice puis de LibreOffice.
Au printemps 2002, j’ai installé, en parallèle avec la SuSE, une Mandrake 8.2 (devenue ensuite Mandriva, puis OpenMandriva) fournie par un magazine.
C’est à la sortie de la Woody 3.0 en juillet 2002 que je suis passé à Debian, un moment en parallèle avec la Mandrake 9.0 Dolphin, sortie en automne, qui m’a de moins en moins servi. J’ai utilisé la Knoppix 3.1 (Live) comme outil et expérimenté Ubuntu, Toutou (Puppy-fr), Gentoo… la dernière étant LinuxMint Debian Edition qu’on m’avait tant conseillée, mais inutile quand on connaît Debian.
J’ai utilisé l’interface graphique KDE3 sur les distributions Suse 7.3, Mandrake 8.2 et 9.0 puis Debian Woody, Sarge, Etch et Lenny. J’ai découvert GNOME2 sur Debian/Lenny et Squeeze, puis mate-desktop à partir de Wheezy (testing) jusqu’à présent, n’ayant pu me faire à GNOME3, converti semble-t-il à l’autoritarisme Mac: «Une seule meilleure manière». On pourrait comprendre que comme Windows 8 et Unity chez Ubuntu, chacun cherche à conquérir tablettes et smartphones. Les dinosaures qui utilisent encore des claviers et souris n’auraient qu’à s’y faire… Et pourtant, il est possible de résister.
En téléphonie, j’utilise SailfishOS sur l’appareil indien AquaFish d’Intex (production abandonnée).
jchr.be